LES ÉCHOS… DU CLOCHER

 
 


Harthouse Market

 
 
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Depuis le début du confinement, nous nous sommes organisés pour pouvoir continuer à faire quelques achats. Les résidents ayant leurs petites habitudes, et leurs petits plaisirs, on peut profiter du service du Harthouse Market, tout spécialement créé pour le confinement. Le but étant de permettre de faire des achats avec le maximum de sécurité, et de rendre chacun acteur dans cette démarche grâce aux outils visuels. Les éducateurs accompagnent les résidents dans leur demande d’achat à l’aide d’image/pictogramme pour formuler une ou plusieurs demande. Les éducateurs transmettent les listes de courses des résidents à l’équipe du Harthouse Market qui part faire les courses à Auchan les lundis après-midi. Les mardis après-midi, les résidents accompagnés par leurs éducateurs viennent récupérer leurs achats en petit groupe, en respectant les règles de distanciation sociale et se désinfecte les mains à l’entrée du Harthouse Market. Les points contacts sont aussi désinfectés entre chaque passage de groupe. Les résidents peuvent commander aussi bien des produits de la vie courante et d’hygiène, mais surtout des articles plaisirs : parfum, vernis, magazines, livre de coloriage, céréale, boissons personnelles, etc. En effet, malgré tous ces changements dus à la situation, le Harthouse Market permet d’apporter à chacun un petit plaisir, et apporte surtout de beaux sourires des résidents.

Joanne, Groupe Initiatives

 


 

 

 

 

 

 
         
  Une équipe se forme et prend forme !      
 
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Depuis quelques semaines, ce virus, nous a contraint à modifier nos vies et à nous adapter à cette période difficile. La réorganisation du fonctionnement du Centre de Harthouse a nécessité les salariés à découvrir d’autres services, d’autres collègues. Il s’avère que nos cuisiniers se sont retrouvés bien démunis. Il a fallu s’y mettre. Vaisselle, conditionnement, coupe des légumes, desserts, préparation des petits déjeuners, tout y est passé et grâce à Fred, Kévin et Raymond, cette belle équipe a su avancer telle une fourmilière bien organisée. DES MOMENTS DE PARTAGE INNOUBLIABLES ! Bien que le plus important soit de ravir les papilles des résidents, la bonne ambiance est de mise. Le décompte des paires ou de l’unité « knacks », l’agression d’une sauce contre un mur ou encore la découverte de la sauce gribiche font que cette période compliquée pour tous, a permis au service et aux éducateurs de venir travailler chaque matin avec plaisir et entrain. Encore MERCI Kevin, de nous avoir mis des paillettes plein les yeux (il comprendra J) et MERCI à Fred de nous parler avec amour et humour du renard et du loup (il comprendra aussi J). Raymond, mes papilles se souviennent encore de ta petite sauce gingembre piment. Merci également à toute cette belle équipe composée de Simone, Joëlle, Perrine V, Perrine F, Amandine, Isabelle, Jean-Luc, Fanny and ME, d’avoir tenu le coup pour le bien-être des résidents. COURAGE et PRUDENCE à tous !

 

Valérie AMIELL,
Présidente de l’A.S. Harthouse

 

 

 

 

 
         
  Les p’tites bêtes      
 
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Une araignée au plafond Vous avez peut-être déjà remarqué dans les coins des plafonds des pièces d’habitations ou entre deux meubles des araignées au corps fin et aux très longues pattes qui, quand on les dérange (en soufflant dessus par exemple), se mettent à vibrer frénétiquement : ce sont des pholques. Ces araignées sont originaires des régions méditerranéennes mais elles se sont dispersées vers le nord en fréquentant les maisons et autres endroits chauds, car elles ne survivent pas aux hivers froids. Inoffensives pour les humains, ce sont des prédateurs efficaces notamment d’autres araignées. Qui aurait cru que le meilleur allié des phobiques d’araignées soit une araignée… Pas sûr que cet argument suffise à les convaincre de ne pas les tuer. Leur toile est très fine et suspendue en général en hauteur. Les femelles ne la quittent presque jamais. Les mâles, plus petits, vagabondent pour trouver une femelle mais comme souvent chez les araignées ils s’en approchent avec prudence pour ne pas finir dévorés par celle qu’ils convoitent. Les femelles sont en revanche de vraies mères poules, elles transportent avec elles les oeufs, assemblés en grappe et les petits restent quelques temps sur la toile de leur mère avant de se disperser. En Alsace, y compris au Centre de Harthouse, on trouve deux espèces : le pholque phalangroide (Pholcus phalangroides) et le Pholque de Pluche (Holocnemus pluchei). Le Pholque de Pluche se distingue par la marque sombre en zig-zag sur son abdomen, pas forcément facile à voir car le corps ne mesure que 6-7 mm de long !

Vincent, Espace RODIN

 

 


 

 

 

 

 
         
   
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