L’ACTUALITÉ DU F.A.M. ET F.A.S.

Du 16 au 18 mai 2019, nous avons eu le plaisir de découvrir les alentours de Bretten, accompagnées de Françoise, Lucienne et François. Le séjour nous a permis de visiter le zoo de Mulhouse. Nous avons eu la chance de déguster les produits du terroir. Le gîte « La grange de Bretten » a été apprécié tant par les résidents que par les éducateurs.

Elodie et Christelle, résidence Cézanne

Le Chagall à la Bresse du 8 au 10 mai 2019… Nous rêvions d’un soleil magnifique accompagné de son ciel bleu… des balades à n’en plus finir… des activités au programme… Mais… nous avons eu… « sale temps » comme le dit si bien un des résidents ! Heureusement, nous avons des éducatrices qui ne manquent pas d’imagination et qui nous ont permis d’avoir un « ailleurs » pendant quelques jours.

Coralie, résidence Chagall

Le printemps des batraciens.
Début mars, après une semaine très froide, les amphibiens sont sortis d’hibernation et se sont mis à se reproduire. Des pontes de grenouilles rousse ainsi qu’un couple de crapauds communs ont été observés dans la mare entre le Cézanne et les ateliers Gauguin. Au printemps, la mare grouille donc de têtards par milliers. Une fois leur métamorphose achevée, des centaines de petits crapauds et grenouilles de quelques centimètres à peine vont se disperser pour rejoindre la forêt. Peu survivront et sur une ponte de deux mille oeufs, seuls deux ou trois parviendront à l’âge adulte et reviendront vers la mare, dans 2 ou 3 ans, pour se reproduire là où ils sont nés.

L’Alsace – plus largement le grand est – est la région de France où on compte le plus grand nombre d’espèces d’amphibiens. On en compte 18 dont 3 ne sont présents qu’en Alsace-Moselle et sont en danger d’extinction : Le crapaud vert, le Pélobate brun et la Grenouille des champs. Quatre autres espèces sont considérées comme vulnérables ou quasi-menacées. Les amphibiens sont le groupe zoologique le plus menacé au monde, 40% des espèces sont menacées.

Vincent, Espace RODIN

QUOI DE NEUF À L'ÉCURIE ?

Eh oui, la plupart des résidents qui vivent au Chagall ont la fibre animale ! Pour cela, nous avions le projet de faire naitre des poussins grâce à un incubateur. En partenariat avec Dominique, nous avons déposé 5 oeufs dans l’incubateur durant 22 jours. Évidemment un peu de rigueur nous a été demandée pour arriver au résultat espéré. Puis un jour, une première coquille se fissure et voilà apparaitre le premier « Piou Piou » comme diraient certaines personnes ! Dominique l’a appelé Mimi. Dès le lendemain, les autres oeufs ont suivi. Les résidents sont très heureux, ils viennent les voir plusieurs fois par jour pour les caresser et les nourrir. Aujourd’hui ils sont en couveuse au Chagall et lorsqu’ils seront prêts ils pourront intégrer le poulailler. Au vu du succès de ces naissances, nous avons déposé dans l’incubateur des oeufs de canards… Patience durant 31 jours…

Coralie, résidence Chagall

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