I.M.Pro.

 
   

L’atelier de jour « Peupliers » du Gauguin et son stand insolite au marché de Pâques

 
 
./.

Allier le plaisir des sens, l’expression de soi et la communication par l’art ont été le fil conducteur des ateliers créatifs aux « Peupliers » en prévision de la participation au marché de Pâques de l’Etablissement. Notre participation à cet évènement avait pour but de développer la socialisation en interne du groupe. Durant ces moments de stimulation sensorielle, les jeunes ont pu développer leur savoir-faire en participant à leur rythme aux réalisations. Le stand, une véritable innovation pour les « Peupliers », a illustré l’alliance des 5 sens : le toucher, la vue, l’odorat, le goût, l’ouïe… Et un 6e qui pourrait se traduire par « la réalisation de soi ». Les objets en vente ont été divers et variés : tableaux sensoriels « au gré du non-hasard »

 

- toiles peintes « saison arc en ciel », « Sahara du désert »
- coquilles St-Jacques avec bougie parfumée
- « rendez-vous marin »
- Sucettes en chocolat faites maison,
- décors de bonbons « gourmandises » et d’autres encore… Les réalisations, véritables créations aux techniques diverses et variées, adaptées aux jeunes, ont illustré leur participation, leur potentiel créatif et leurs richesses. N’est-ce pas aussi cela, « exister » tout simplement ?

L’équipe des « Peupliers » du Gauguin

 
   

Projet de nettoyage de véhicules fait par le S.I.P

 
 
./.

Le S.I.P a commencé son projet de nettoyage, le jeudi 24 et vendredi 25 avril. Nous avons nettoyé 11 véhicules. Les jeunes se sont portés volontaires. L’objectif est de nettoyer les véhicules du centre, de manière régulière, tout le long de l’année. « On a fait deux groupes, un pour le nettoyage de l’extérieur, un autre pour l’intérieur. Les jeunes qui nettoient l’intérieur utilisent l’aspirateur, le chiffon, du vinaigre et des produits de nettoyages

 

spécifiques pour l’entretien des voitures. Ceux qui nettoient l’extérieur utilisent de l’eau, du shampoing, le Kärcher, des éponges et des brosses ». Afin de remplir nos « caisses », nous proposerons à l’ensemble du personnel deux jours par mois pour le nettoyage de leur véhicule. L’argent récolté servira à finaliser un projet personnel ou collectif.

Service d’Insertion Professionnelle

 
   

Le « Biodéconditionneur »

 
 
./.

Le jeudi, 3 avril 2014, nous avons visité le biodéconditionneur de Valorest de 14h à 15h. On a eu 47 minutes de trajet pour se rendre au site. Nous étions 8 jeunes : Quentin, Manon, Jordane, Christophe, Lionel, Mégane M., Mégane H., Jason ; 2 éducateurs : Claire et Séverine et 2 stagiaires Claire et Mbaye. A l’arrivée, notre guide nous a donné des gilets de sécurité pour la visite, et nous amène à l’intérieur du local de biodéconditionnement. « Le local était grand et beaucoup de palettes, de boissons et des gâteaux étaient entreposés en attendant leur passage dans le biodéconditionneurs. Il y avait deux gros cylindres et deux grands bacs où passent les déchets et une machine pour laver les bacs. Il y avait beaucoup de bruit dû aux machines. Il y avait aussi un bureau équipé d’un ordinateur pour le contrôle du fonctionnement des machines. Cependant, il y avait une forte odeur à cause des déchets. » Un élévateur verse les bacs de déchets dans la benne et une grosse visse tournante écrase les déchets qui sont ensuite envoyés dans le biodéconditionneur.
 

 

   

On récupère un substrat organique (bouillie de tous les aliments), d’un côté et de l’autre côté, on récupère les emballages. Ce substrat, laissé à l’air libre fermente rapidement et dégage du gaz (le biogaz). Il permet donc d’obtenir du biogaz et de l’engrais pour sa partie solide. 800 tonnes de biodéchets par mois sont récupérés auprès des grandes surfaces, des industries agroalimentaires ou encore auprès des restaurants. 55 tonnes de substrat, soit 2 camions citernes sont obtenus par jour. La méthanisation du substrat pour obtenir le biogaz se fait à Hochfelden.
« Valorest traite des biodéchets (déchets alimentaires). Le site était grand. » Jason
« Ils ne nous ont pas donné des masques anti-odeurs. Cela m’a fait mal de voir les aliments que nous gaspillons. On a vu des palettes de gâteaux " petit lu " et des boissons. » Manon
« Ca m’a plu de savoir où vont les déchets biodégradables des magasins où j’ai effectué des stages comme match et carrefour. » Jordane
« Ca puait à l’intérieur du local de biodécondionnement à cause des déchets alimentaires et les produits de lavage des bacs. J’avais du mal à respirer. » Lionel

Service d’Insertion Professionnelle

 

 
         
   
<<< Page 2

Page 3
SOMMAIRE

Page 4 >>>

 
 

 

1 * 2 * 3 * 4 * 5 * 6 * 7 * 8 * 9 * 10 * 11 * 12 * 13 * 14 * 15 * 16