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Barbara intervient auprès du foyer d’hébergement, de l’ESAT, du SAJ (Rodin) et de la MAT (Degas) : « Après des études de psychologie dans ma région d’origine, j’ai obtenu mon master de psychologie clinique et psychopathologie à Strasbourg en 2007. Mon parcours a été riche d’expériences professionnelles : en milieu pénitentiaire, dans le domaine des droits de visite parents-enfants, dans la protection de l’enfance (en MECS), ou encore dans l’accompagnement d’enfants (en CMPP) ou d’adolescents (aux PAEJ). J’avais rencontré le handicap mental lorsque j’étais étudiante, en travaillant notamment dans des séjours de vacances adaptées. Pouvoir conjuguer toutes ces expériences au Centre de Harthouse est une chance. Les équipes sont accueillantes et un réel travail pluridisciplinaire est possible, dans le respect de l’intégrité psychique des personnes ».

Ludivine quant à elle intervient auprès des FAS (Chagall, Dali, et Michel-Ange) et de l’Equipe Mobile Autisme 67 : « A la suite de mon cursus universitaire dans la ville de Nancy où j’ai obtenu en 2020, un master de Psychologie Clinique, Psychopathologie et Psychopathologie de la Santé parcours Psychologie du Développement, je reviens, grâce à ce poste, dans ma région natale. C’est avec enthousiasme que je prends mes fonctions pour ce premier poste ! Par ailleurs, je tiens à remercier toutes les équipes de professionnels, les résidents et bénéficiaires pour leur chaleureux accueil. Grâce à mes expériences passées, j’ai pu intervenir en FAS, plutôt sur le versant éducatif et en foyer d’hébergement cette fois sur le versant psychologique. J’ai également eu l’opportunité d’animer des groupes de parole à destination de fratrie (enfants et adolescents) de personnes souffrantes de TSA. J’accorde une importance particulière à l’accompagnement pluriprofessionnel des résidents et bénéficiaires ainsi qu’à leur famille. Je souhaite d’ailleurs exercer mes fonctions en ce sens.

Nous avons toutes les deux à coeur d’accompagner les résidents, travailleurs, bénéficiaires, leurs familles et les équipes. Nous constatons l’impatience d’un retour à des activités d’avant le Covid 19 de la part des adultes pris en charge dans nos services et de nos collègues. Nous nous sentons aussi impatientes qu’eux !

Ludivine Rochelle et Barbara Bosc

Prochaine parution des « échos »
au mois de juillet 2021

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